Maison panachée de verrières
imberbe de lierre
mais casquée de glycines
et bouclée de lilas
C’est ici qu’on m’a dit
qu’il ne faut pas garder
les morts sur les épaules
que ce n’est pas leur place
et qu’il faut faire le deuil
Moi je veux bien l’oubli
si la nuit m’ouvre encore
l’escalier dans la mer
12 mars 2020
Quelle merveille que ce regard paisible, doux et poétique, comme un chemin de vie fait de surprises où rien n’est nécessaire. Allons, tranquillement…