j’aurais préféré bleus
– tant pis –
volets ouverts verts
sur le bleu des lavandes
sur le rose des tuiles
sur le carillon des troupeaux
j’extrapole
j’attrape le désir
au lasso des poèmes
c’est une maison qui jazze
crépuscule à la noce
le tulle des nuages
et la lune paraphe
8 juillet 2017
c’est toujours aussi inattendu !
« Fermons la fenêtre et laissons les volets clos… Tant pis pour le patron… » Merveilleuse chanson de Nicoletta, un temps,… Que votre poème évoque sur mes pensées nostalgiques..
« La beauté des vers et leur puissance est de ne pouvoir être pensés » (P. Valéry, Ego scriptor). C’est une fois de plus le cas des vôtres, qui contournant le mental fascinent et touchent plus profond, pendant que « la lune paraphe »… Ahhh !!!
Je suis conquis!
Merci mes yeux du sud, les volets bleus ce sera ici.