Je regarde le figuier
il ne frelonne plus
Ses brindilles nues tressaillent
sous le poids-plume des mésanges
Le ciel s’effrite à la fenêtre
Floconfettis
Peut-on se noyer dans son propre silence ?
Je voudrais qu’un rien me traverse
12 janvier 2021
Je suis venue de nombreuses fois lire ton poème. J’ai eu le « commentaire blanc », comme le blanc du silence dans lequel je me suis noyée…
Un rien de vie va te traverser car tu n’es pas insensible aux choses, à la nature…
Tout me traverse et ce tout est bien rude, souvent, trop souvent…
Bises du soir
Floconfettis, que voilà un joli mot valise ! toi tu as envie de faire tes valises, mais l’époque ne s’y prête guère….