Les épaules tressaillent
comme de rire
Tenir dans ses mains
les épaules
et le comme
et le rire
qui nous embrasse
mouillé
4 juillet 2018
Les épaules tressaillent
comme de rire
Tenir dans ses mains
les épaules
et le comme
et le rire
qui nous embrasse
mouillé
4 juillet 2018
Merci à Clément d’avoir mis la clef de contact qui m’a permis d’embarquer dans ce poème autosplendide.
« On ne peut consoler quelqu’un qu’en allant dans le sens de son affliction, et cela jusqu’au point où l’affliction en a assez de l’être ».
Chère Colette, cette pensée de Cioran qui m’avait d’abord semblé rejetable, je me la suis appliquée un jour dans une passe très difficile. Elle me fut alors d’une aide inattendue.
Merci Clément…*****