Nuitamment 9 Août 2017 | Douzième volet | 2 commentaires Le figuier m’en vient par la fenêtre ouverte Un rayon de lune bruit 7 août 2017 ← Les chats Irrationnelle ? → 2 Commentaires Bruno FortuneR sur 12 août 2017 à 10 h 07 min Tu es comme Georges Sand; Tu ne dors jamais! mais continue tes insomnies poétiques qui nous ravissent tant Réponse Marie-Cécile sur 10 août 2017 à 18 h 36 min Je vois ces rayons lunaires jouer dans la nuit avec les larges feuilles, à la frontière de ta fenêtre… Une image de mots belle comme tu sais le faire. Réponse Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Select an image for your comment (GIF, PNG, JPG, JPEG):Δ
Bruno FortuneR sur 12 août 2017 à 10 h 07 min Tu es comme Georges Sand; Tu ne dors jamais! mais continue tes insomnies poétiques qui nous ravissent tant Réponse
Marie-Cécile sur 10 août 2017 à 18 h 36 min Je vois ces rayons lunaires jouer dans la nuit avec les larges feuilles, à la frontière de ta fenêtre… Une image de mots belle comme tu sais le faire. Réponse
Tu es comme Georges Sand; Tu ne dors jamais! mais continue tes insomnies poétiques qui nous ravissent tant
Je vois ces rayons lunaires jouer dans la nuit avec les larges feuilles, à la frontière de ta fenêtre… Une image de mots belle comme tu sais le faire.