Bon voilà, nous n’en sommes pas fiers mais nous l’avons faite, cette promenade à dos d’éléphant.
C’était sportif, si si ! Il fallait tenir très fort Bidouille et la caméra. Je n’avais qu’une peur, c’était de les lâcher dans le lac Lak traversé.
Je vous préviens, il y a du roulis.
Musique de GUEM et Zaka Percussion « La Foret Vierge »
13 février 2017
Ce qui me scie, c’est que Bidouille ne dégueule pas. Et bien sûr, il faut qu’elle allume. Le bisou final pachydermique, c’est quelque chose.
Cornac sur le lac Lak par éléphant interposé, Bidouille fait un tabac!
Chouette zique…….
J’ai refait le voyage avec plaisir. Finalement, on s’habitue au tangage !!! Et les paysages sont si beaux ….
C de l’ art et les fans ne s’y sont pas trompés
ça balance pas mal un éléphant ! la musique est en parfaite adéquation avec les images; je te soupçonne d’avoir exagéré la bascule de l’horizontalité, tu pensais déjà à ce que tu allais nous proposer, tu es trop géniale, je t’adore !
Je t’assure Hélène, je n’ai rien exagéré du tout, j’essayais au contraire de maintenir droite la caméra, peine perdue … 🙂
Moi aussi j’t’adore 😉
Je connaissais le mal de mer mais pas le mal d’éléphant!
Ces cieux mauves, roses bleus et blancs… Renversants ! Comme cette balade que Toi et Bidouille avez osée.
Et Bidouille, avec ses oreilles, fait presque concurrence au pachyderme 🙂
Oh la la, moi j’aurais carrément gerbé !
Cher Bidouille, je veux simplement te dire que dans cette situation , tu sembles te balancer d’un pas de Sénateur qui avancerait comme un éléphant dans un jeu de quilles…Mais quel courage ! Affronter les eaux tumultueuses du Lak traversé , n’est certainement pas donné à tous Cornacs … foi de pachyderme !
Tanguy, j’ai le regret de te dire que tu confonds : là, tu as juste rencontré un vieux socialiste. Rien à voir avec l’exotique et rafraichissante promenade proposée par Bidouille !
(mais diantre, c’est vrai que ça tangue …)
Kô elle a dit du roulis, pas du Tanguy.
Savoir faire le grand écart, maîtriser son équilibre pour ne pas s’empaler sur les poils de la tête… depuis toujours, ce sont les « pré-requis » qui m’empêchent de me déplacer à dos d’éléphant.