Il est des silences précipités que rien n’arase
La lumière me tient en joue
Rémanente, chargée de joie
Je ne bouge plus
Réfugiée dans cette part d’exil qui est tienne
Attablés tous les trois
Ton silence, la lumière et moi
7 septembre 2014
Il est des silences précipités que rien n’arase
La lumière me tient en joue
Rémanente, chargée de joie
Je ne bouge plus
Réfugiée dans cette part d’exil qui est tienne
Attablés tous les trois
Ton silence, la lumière et moi
7 septembre 2014
on attend la suite pour commenter évidemment mais c’est vrai tu as raison cela manque d’encouragements, d’un autre côté comme c’est court et que l’on sait qu’il y a des volets et une fin il semble normal d’attendre de voir où tu te diriges et comment. Mais jusqu’ici l’écriture et l’esprit me plait beaucoup
Bonjour Jean-Claude, une suite je ne sais pas ? Ce cinquième volet est marqué par un deuil. Je me dirige au gré des aléas de la vie, la vie porte mon écriture. Merci d’être venu ouvrir mes volets 🙂