Ce plus ailleurs encore qui efface mes pas
Le cœur qui bat en brèche
Colmater
Fissures diluées l’amour amor à mort
Une brume renouvelée
Chaque fois dissipée dans les limbes de l’aube
Partir c’est mourir et renaître plus loin
Au delà de ce pont je ne vois pas la rive
Je ne la rêve plus
Je resterai empreinte de passages oubliés
Comme dépossédée de tout ce qui nous lie
Ce plus ailleurs encore qui efface mes pas
Juin 2011
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