Les cages verdoyantes de ces jardins d’enfants
Chamailles et rires mêlés au pied des toboggans
J’adopte le soleil anémié, peu importe
Le mauvais jour de soupirail
Dans la tresse des grilles, je filtre
Le reflet d’un reflet capté, je flashe
Noyer ainsi l’ombre portée
Des échos de notes
Et de notes
Ces souvenirs assidus à cons. de pref. avant-hier
Echapper à l’idée camisole que j’avais du dimanche
De mieux en pire
J’adapte
Mai 2011
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