J’ai laissé s’éteindre les pétillements d’étoiles
Dans le vent de là-bas
Aujourd’hui j’évolue sous des rampes de lumières
Des milliers de néons comme une trainée de poudre
Des rêves propagés comme des incendies
Des comètes noyées au ciel d’aujour/nuit
S’il reste la lueur d’une flamme quelque part
Elle n’illumine rien
Elle n’écarte pas la pénombre alentour
Elle n’est pas un geste de reflet qui danse
Au ciel d’aujour/nuit les feux n’ont d’autre chaleur
Que celle des souvenirs
Des poussières d’étincelles échappées des Bengale
Ce n’est pas une victoire
Ce n’est pas une défaite non plus
Espoirs de papillon à se brûler les ailes ?
Peut-être
Mais pas sûr…
Dans le vent de là-bas
Aujourd’hui j’évolue sous des rampes de lumières
Des milliers de néons comme une trainée de poudre
Des rêves propagés comme des incendies
Des comètes noyées au ciel d’aujour/nuit
S’il reste la lueur d’une flamme quelque part
Elle n’illumine rien
Elle n’écarte pas la pénombre alentour
Elle n’est pas un geste de reflet qui danse
Au ciel d’aujour/nuit les feux n’ont d’autre chaleur
Que celle des souvenirs
Des poussières d’étincelles échappées des Bengale
Ce n’est pas une victoire
Ce n’est pas une défaite non plus
Espoirs de papillon à se brûler les ailes ?
Peut-être
Mais pas sûr…
Novembre 2011
Ce texte est inspiré par la chanson « Les yeux gris » de Michel Borla, extrait de son dernier album » La saison des fruits verts »
Pour écouter « Les yeux gris », veuillez cliquer sur le lecteur ci-dessous :
Commentaires récents