Jamais je n’avais vu de peupliers embrasés
leur lumière propagée çà et là
comme foyers émeraude
D’ailleurs jamais
je n’avais vu les peupliers
ni çà, ni là
Seulement nos pas dans les ornières
La résurgence des sources perdues
24 avril 2015
Jamais je n’avais vu de peupliers embrasés
leur lumière propagée çà et là
comme foyers émeraude
D’ailleurs jamais
je n’avais vu les peupliers
ni çà, ni là
Seulement nos pas dans les ornières
La résurgence des sources perdues
24 avril 2015
Et un jour enfin on voit les peupliers…
J’aime beaucoup votre poésie, je viens de la découvrir dans la revue Lichen 🙂