Je m’attache à l’envers des pas
et aux fenêtres ouvertes
dans le miroir profond des sols
Je cueille l’ombre du vent
happée dans les hélices
Je capte la lumière
qui crawle et se délite
à la surface de tout ce qui onde
27 janvier 2017
Je m’attache à l’envers des pas
et aux fenêtres ouvertes
dans le miroir profond des sols
Je cueille l’ombre du vent
happée dans les hélices
Je capte la lumière
qui crawle et se délite
à la surface de tout ce qui onde
27 janvier 2017
Ton regard porte haut et loin, et tes mots ouvrent de beaux paysages. je te piquerais bien « la surface de tout ce qui onde », mais tout le monde saurait que c’est moi.
..et j’accroche ton poème
au bambou du chemin
pour aller devant……..
Pour rebondir les mots de Bruno (et voyant quant à moi la photo que tu as ajoutée) : quel beau regard au-delà de ce qui se voit !
quel beau regard sur ce qui ne se voit pas!
Pourtant si, ça se voit, je t’assure 🙂
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