Le silence coule comme une rumeur
Embardées de vent dans les trembles
Je m’approprie le soir boisé
– la part rauque des chevreuils –
Et j’ai la clef de la rivière
26 juillet 2015
Le silence coule comme une rumeur
Embardées de vent dans les trembles
Je m’approprie le soir boisé
– la part rauque des chevreuils –
Et j’ai la clef de la rivière
26 juillet 2015
Attention, pépite.
Merci les amis <3
pas mieux que Castor et Eric
Et la clé des jolis mots.
Bravo
Ils sont rares les poèmes écrits sans les yeux.